L'histoire derrière le projet.
Quand j'étais jeune, les émissions publicitaires de Vision Mondiale sur la pauvreté en Afrique m'ont beaucoup touché. Déjà à cet âge je réalisais que le monde était injuste et que je devais faire quelque chose pour changer cela. Alors à l'école primaire quand mon enseignante m'a demandé ce que je voulais faire quand j'allais être plus vieux, j'ai répondu: Je veux aller aider les pauvres en Afrique. Mais ensuite, j'ai grandi dans la rationalité de la société Nord Américaine et j'ai oublié mes rêves dans le but de me conformer aux normes de la société moderne. Après quelque temps, je me suis senti complètement perdu et insatisfait de ma vie. J'ai donc décidé de quitter mes études en génie électrique et de partir voyager, à la conquête du monde et à la recherche de moi-même.
J'ai donc quitté le confort de ma maison pour vivre pendant 2 mois, dans une tente en Europe. Même si j'avais peu d'argent, je ne me suis jamais senti aussi libre et riche intérieurement. J'ai alors réalisé que le vrai bonheur, pour moi, n'était pas lié à un titre social ou ce que l'on possède dans la vie, mais aux petits moments de joie qui croisent notre quotidien. J'ai donc décidé de ne plus me conformer au moule d'une société établie et d'écrire ma propre histoire et vivre le Carpe Diem. Ce jour-là, toutes les barrières que je m'étais moi-même créées sont tombées et un monde infini de possibilités est apparu devant mes yeux.
À mon retour, je suis allé voir un conseiller en orientation pour lui parler de mon intérêt d'aider les pauvres en Afrique. Il m'a vite fait comprendre qu'à moins d'avoir des qualifications dans le domaine de la santé, de la politique internationale ou de l'ingénierie civile, la meilleure façon d'aider était de faire des dons aux organismes humanitaires déjà implantés. J'étais loin d'être satisfait de la réponse, mais je dois admettre qu'il avait raison. Ensuite il m'a demandé qu'est-ce que j'aimais dans la vie. Je lui ai parlé de mon voyage et décrit à quel point j'étais heureux là-bas. Il m'a donc conseillé de trouver un domaine qui me permettrait de voyager. Trois jours plus tard, je commençais un cours en hôtellerie. La réalisation de ce cours m'a permis de vivre à l'étranger et de financer plusieurs voyages qui m'ont beaucoup apporté dans la vie, mais au fond, il me manquait toujours quelque chose.
Un de ces voyages était en Amérique Centrale. Voyager à cet endroit m'a fait réaliser que la pauvreté extrême ne se limite pas seulement au territoire Africain mais bien à plusieurs pays à travers le monde. Malgré tout, Je suis tombé complètement amoureux de cet endroit magnifique et par la même occasion de la plongée sous-marine. Je pris donc la décision de déménager au Honduras et devenir instructeur en plongé sous-marine. Après un an, j'ai du quitter le pays suite à des tensions politiques, avec la certitude d'y retourner un jour.
Quelques années plus tard, un ami m'a suggéré d'appliquer comme représentant à destination pour une grande compagnie de vacances Canadienne pour laquelle il travaillait. J'ai écouté son conseil et après un long et rigoureux processus d'embauche, j'obtins un emploi au Mexique. En travaillant là bas, j'ai beaucoup appris sur le service à la clientèle et le tourisme. Après 2 ans, j'ai jugé qu'avec l'expérience que j'avais acquise en hotellerie et en tourisme, il était temps pour moi d'ouvrir mon propre hôtel.
À travers les années, l'Amérique Centrale est devenue comme un deuxième chez-moi. Pour cette raison, quand le moment est venu de choisir mon futur sîte pour le projet, le choix fut facile à faire: l'Amérique Centrale. Ensuite j'ai utilisé mon expérience de voyage et fait plusieurs recherches afin de comparer la stabilité politique, la sécurité, le potentiel touristique et la législation locale des différents pays avant de déterminer que le Nicaragua était la meilleure option. Alors je suis parti en direction de ce pays fantastique afin de trouver une terre pour mon projet. En arrivant au pays, j'ai été marqué par l'acceuil exceptionnel de la population, qui même en vivant dans la pauvreté la plus extrême, a fait preuve d'une gentillesse et d'une générosité incroyables. Avec leur aide, j'ai trouvé mon petit coin de paradis. Maintenant il est temps pour moi de les aider en retour. De cette manière est née l'idée de l'Éco Projet Carpe Diem.
J'ai donc quitté le confort de ma maison pour vivre pendant 2 mois, dans une tente en Europe. Même si j'avais peu d'argent, je ne me suis jamais senti aussi libre et riche intérieurement. J'ai alors réalisé que le vrai bonheur, pour moi, n'était pas lié à un titre social ou ce que l'on possède dans la vie, mais aux petits moments de joie qui croisent notre quotidien. J'ai donc décidé de ne plus me conformer au moule d'une société établie et d'écrire ma propre histoire et vivre le Carpe Diem. Ce jour-là, toutes les barrières que je m'étais moi-même créées sont tombées et un monde infini de possibilités est apparu devant mes yeux.
À mon retour, je suis allé voir un conseiller en orientation pour lui parler de mon intérêt d'aider les pauvres en Afrique. Il m'a vite fait comprendre qu'à moins d'avoir des qualifications dans le domaine de la santé, de la politique internationale ou de l'ingénierie civile, la meilleure façon d'aider était de faire des dons aux organismes humanitaires déjà implantés. J'étais loin d'être satisfait de la réponse, mais je dois admettre qu'il avait raison. Ensuite il m'a demandé qu'est-ce que j'aimais dans la vie. Je lui ai parlé de mon voyage et décrit à quel point j'étais heureux là-bas. Il m'a donc conseillé de trouver un domaine qui me permettrait de voyager. Trois jours plus tard, je commençais un cours en hôtellerie. La réalisation de ce cours m'a permis de vivre à l'étranger et de financer plusieurs voyages qui m'ont beaucoup apporté dans la vie, mais au fond, il me manquait toujours quelque chose.
Un de ces voyages était en Amérique Centrale. Voyager à cet endroit m'a fait réaliser que la pauvreté extrême ne se limite pas seulement au territoire Africain mais bien à plusieurs pays à travers le monde. Malgré tout, Je suis tombé complètement amoureux de cet endroit magnifique et par la même occasion de la plongée sous-marine. Je pris donc la décision de déménager au Honduras et devenir instructeur en plongé sous-marine. Après un an, j'ai du quitter le pays suite à des tensions politiques, avec la certitude d'y retourner un jour.
Quelques années plus tard, un ami m'a suggéré d'appliquer comme représentant à destination pour une grande compagnie de vacances Canadienne pour laquelle il travaillait. J'ai écouté son conseil et après un long et rigoureux processus d'embauche, j'obtins un emploi au Mexique. En travaillant là bas, j'ai beaucoup appris sur le service à la clientèle et le tourisme. Après 2 ans, j'ai jugé qu'avec l'expérience que j'avais acquise en hotellerie et en tourisme, il était temps pour moi d'ouvrir mon propre hôtel.
À travers les années, l'Amérique Centrale est devenue comme un deuxième chez-moi. Pour cette raison, quand le moment est venu de choisir mon futur sîte pour le projet, le choix fut facile à faire: l'Amérique Centrale. Ensuite j'ai utilisé mon expérience de voyage et fait plusieurs recherches afin de comparer la stabilité politique, la sécurité, le potentiel touristique et la législation locale des différents pays avant de déterminer que le Nicaragua était la meilleure option. Alors je suis parti en direction de ce pays fantastique afin de trouver une terre pour mon projet. En arrivant au pays, j'ai été marqué par l'acceuil exceptionnel de la population, qui même en vivant dans la pauvreté la plus extrême, a fait preuve d'une gentillesse et d'une générosité incroyables. Avec leur aide, j'ai trouvé mon petit coin de paradis. Maintenant il est temps pour moi de les aider en retour. De cette manière est née l'idée de l'Éco Projet Carpe Diem.